Si vous souhaitez mieux réviser pour la prochaine évaluation, écoutez :

La vie aux champs

J’habite à la campagne car c’est beau.
Certains me traitent de bouseux, de pecnaud.
Qu’ils restent en ville dans leur monde surpeuplé
Où je ne viendrai pas les déranger !
Qu’ils gardent leur cher sol, leur pollution !
Qu’ils n’accélèrent pas la rurbanisation
Ou le développement de l’exode rural
Qui déracine l’homme –car c’est mal !
Je préfère les maisons traditionnelles.
Groupées ou dispersées, elles sont très belles.
Elles illuminent n’importe quel paysage :
Prés entourés de haies du bocage,
Openfield aux champs non délimités,
Rizière avec diguettes et casiers,
Champs gagnés sur la savane arborée,
Nouvelles terres agricoles des fronts pionniers.
J’aime les activités agricoles
Qui font oublier les métropoles.
J’admire l’agriculture commerciale
A cause de son rendement optimal.
Je défends l’agriculture vivrière
Faisant vivre des familles entières
Qui cherchent un revenu complémentaire
En se lançant dans le tourisme vert.

Pour écouter ou télécharger les chansons cliquer ICI

Merci à Matthieu Pom et Ludovic Fécamp, auteurs

Révisez en écoutant de la musique : une chanson dont les paroles sont écrites par un prof d’histoire-Géo pour réviser le contrôle sur les Grecs !!!

Paroles : Ludovic Fécamp. Musique et chant : Matthieu Pom

Cliquer ici : Les grecs

Voici les paroles :

Recherchant un avenir meilleur, Des marins grecs ont navigué

En mer Noire, en Méditerranée. Ils voulaient des comptoirs, des terres,

Plutôt que faire une belle croisière ! Ils emportèrent une écriture,

Une langue, des techniques, une culture.

A Marseille, cette colonie née De familles venues de Phocée,

La légende parle de Protis Et d’son mariage avec Gyptis.

Depuis, cette histoire, c’est étrange, On a vu croître les échanges.

Refrain

Comme des grenouilles autour d’une mare, Les Grecs observent les barbares. Ils disent qu’y a pas de quoi être fier D’ignorer les œuvres d’Homère.

Ensemble ils font la fête, la guerre Qu’ils continuent même aux enfers !

Sur un espace délimité Où de l’acropole, on voit : Théâtre, muraille, agora

Dominant une jolie campagne Jusqu’au pied des hautes montagnes.

Les gouvernements des cités Sont d’une grande diversité :

Aristocratie, monarchie, Tyrannie ou démocratie.

Les dieux donnent leur protection Dans les sanctuaires, dans les maisons,

Et vous transforment en héros Aux jeux pythiques ou aux J.O.* !

Refrain

Tous les Athéniens sont soudés. On le voit aux Panathénées :

Athéna, déesse protectrice, Reçoit des bœufs en sacrifice Et un beau vêtement tissé

Pour s’habiller toute une année ! Métèque, esclaves, femmes, enfants

Sont exclus du gouvernement. Seuls les citoyens votent les lois

Et l’ostracisme à l’ecclésia. Contre les Perses, ils s’unirent.

Contre les Spartiates, ils fléchirent. Contre la Macédoine, quelle panade !

Mais pas d’quoi en faire une salade !

Refrain

En Macédoine, Alexandre Provoqua quelques esclandres

Par ses ambitions démesurées : Il voulait le monde à ses pieds. Ses phalanges lui ont permis

De bien guerroyer en Asie,

De fonder des « Alexandrie » Où essaimèrent de vrais génies

Comme le savant Ératosthène, Grand géographe de Cyrène,

Et puis si je ne m’abuse, Archimède de Syracuse.

Culture grecque et orientale Fusionnèrent plutôt pas mal !

Refrain

Paroles : Ludovic Fécamp. Musique et chant : Matthieu Pom